consequences de l'immigration clandestine en afrique

La mondialisation et l'accès à l'information ont créé le désir irrépressible de vivre un meilleur avenir que celui imposé par sa naissance, son village ou son pays. Ils sont devant nous parce que les tensions sont devenues extrêmes au sein de plus en plus de pays de l'Union où le populisme s'est imposé.

L'Europe comptera 700 millions d'habitants en 2050, l'Afrique aura doublé, à 2,6 milliards. Mais l'Europe aurait tort de croire que ces solutions du reflux seront suffisantes, même si elle écoute les populistes qui l'invitent à les « durcir » encore pour décourager les candidats migrants.C'est se tromper d'abord d'époque. You must have JavaScript enabled to use this form. Si certains pays parviennent à décoller (Burkina Faso, Ethiopie, Ghana, Rwanda, Tanzanie), d'autres sont en échec : leurs gouvernements semblent incapables de redressement, les populations de ces pays s'appauvrissent d'année en année. Dès le retrait des colonisateurs européens en Afrique, presque vingt-cinq millions des gens sont morts, allumés par des conflits tribaux et des guerres civiles ; vu que les colonisateurs ont établi les frontières pour satisfaire leurs intérêts et profits, au lieu de respecter les lignes d’ethnicité naturelle des régions envahies! Avec la technologie aujourd’hui, cela devient progressivement difficile, alors ils utilisent la désinformation et la propagande !

Crises climatiques ou politiques, boom démographique, faibles revenus par habitant, promesse d'un avenir meilleur permis par la mondialisation : les migrations massives sont devant nous. Mais, on observe tout de même, une diminution de deux tiers du nombre de migrants arrivés en Europe par mer entre 2015 et 2016 selon l’agence européenne de garde-côtes et garde-frontières (Frontex). Décryptez les conséquences de la crise sur l’économie, les entreprises et les marchés. Pour le compte de l’année 2017, on dénombre plus de 150 000 immigrés africains arrivés sur le sol européen selon les chiffres de l’OIM. Au niveau économique, selon les chiffres de la Banque mondiale, Des migrations clandestines périlleuses et dangereuses, au cours desquelles on compte deMais, on observe tout de même, une diminution de deux tiers du nombre de migrants arrivés en Europe par mer entre 2015 et 2016 selon l’agence européenne de garde-côtes et garde-frontières (Frontex). Il est temps pour l'Europe de cesser de se bercer d'illusions sur l'ampleur des drames qui vont naître à sa porte et de décider d'une politique africaine avec beaucoup plus d'argent mais aussi beaucoup plus de force.Chaque jour, la rédaction des Echos répond à votre besoin d’une information fiable et vous aide à prendre les meilleures décisions.Conservez une vision globale de la situation, en France et dans le monde.

… Ils sont devant nous parce que les tensions sont devenues extrêmes au sein de plus en plus de pays de l'Union où le populisme s'est imposé. Un même recul était déjà observable en 2016 et, selon le FMI, cette baisse se poursuivra en 2018. Vu que les universités sont considérées comme des centres d’excellence pour la recherche de la connaissance, il est dommage que ces centres soient pris d’assaut par des maitres manipulateurs ; elles deviennent des bastions de protection de la foi ancienne et traditionnelle, enfin d’isoler et d’étouffer les nouveaux penseurs !

Il est temps de réaliser que la gestion des ressources, soit humaine, environnementale, minérale, spirituelle, naturelle, ou organisationnelle, doit être pris en considération et revu à long terme, au lieu de l’éphémère création des profits et richesses personnelles.

Mais tous les acteurs reconnaissent que cela ne suffira pas, qu'il faudrait agir autrement. En 2100, les populations respectives seront de 650 millions et 4,4 milliards. L'Europe doit pousser la communauté mondiale à s'impliquer dans les Etats africains défaillants, comme elle a su le faire ailleurs.Il faudrait changer d'échelle le planning familial et aider les femmes à se libérer des pesanteurs religieuses et culturelles avec des crédits à la hauteur; conditionner toutes les aides internationales à la tenue d'élections démocratiques surveillées, sans plus aucun accommodement, éventuellement mettre en place des sanctions et, enfin, puisqu'on sait maintenant aider mieux, aider beaucoup plus.

Dans ce contexte, des déplacements massifs de populations africaines sont inéluctables, d'abord pour des raisons climatiques. Le renforcement des contrôles aux frontières et les accords … Conséquence : la croissance économique de la région se stabilisera Surtout si l'on regarde de plus près les différents pays. Les politiques mises en place, notamment la lutte contre les passeurs et la création de centres d'examen du droit d'asile en amont dans les pays de départ, sont efficaces. La Banque mondiale estime à 86 millions les déplacés forcés en 2050, par manque d'eau ou par effondrement des rendements agricoles, affectant particulièrement les pays et les régions déjà pauvres. La liberté de tenter sa chance ailleurs, le voyage de l'espoir, ont fait sauter les frontières. C'est ensuite se rassurer trop vite. C'est le paradoxe de voir que la question migratoire explose dans les opinions, aujourd'hui en Italie et en Allemagne, alors qu'on n'a compté que 40.000 arrivées venant de la Méditerranée au premier semestre de cette année, contre plus de 1 million pour l'ensemble de l'année 2015. La « transition » observée partout dans le monde qui abaisse la fertilité au fur et à mesure du développement, n'a pas lieu en Afrique subsaharienne, ou avec beaucoup trop de lenteur. La connaissance a toujours été perçue comme étant une puissance. L'Europe doit pousser la communauté mondiale à s'impliquer dans les Etats africains défaillants, comme elle a su le faire ailleurs.Les drames de l'immigration sont devant nous, Européens. En 2017, le revenu par habitant a diminué dans douze pays subsahariens qui abritent 33 % de la population de l'Afrique, soit 320 millions de personnes.