Il est temps pour l'Europe de cesser de se bercer d'illusions sur l'ampleur des drames qui vont naître à sa porte et de décider d'une politique africaine avec beaucoup plus d'argent mais aussi beaucoup plus de force.Chaque jour, la rédaction des Echos répond à votre besoin d’une information fiable et vous aide à prendre les meilleures décisions.Conservez une vision globale de la situation, en France et dans le monde. Ils sont devant nous parce que les tensions sont devenues extrêmes au sein de plus en plus de pays de l'Union où le populisme s'est imposé. INTERNATIONAL - Le silence coupable des dirigeants africains sur le drame de l'immigration clandestine choque les consciences. Le renforcement des contrôles aux frontières et les accords … … La « transition » observée partout dans le monde qui abaisse la fertilité au fur et à mesure du développement, n'a pas lieu en Afrique subsaharienne, ou avec beaucoup trop de lenteur. Au niveau économique, selon les chiffres de la Banque mondiale, Des migrations clandestines périlleuses et dangereuses, au cours desquelles on compte deMais, on observe tout de même, une diminution de deux tiers du nombre de migrants arrivés en Europe par mer entre 2015 et 2016 selon l’agence européenne de garde-côtes et garde-frontières (Frontex). En tant qu’individu, nous avons à prendre une décision majeure dans notre existence, pour que soit engendrée la perspective de penser objectivement : le choix entre Platon et Aristote. L'Europe doit sortir de l'impasse bâtie par une droite qui s'en tient à la trop courte politique du reflux et par une gauche qui paralyse toute action volontaire dans le débat sur le passé colonial. Mais tous les acteurs reconnaissent que cela ne suffira pas, qu'il faudrait agir autrement. En outre, et ceci étant cause de cela, les conflits internes Rien n'est désespéré, beaucoup de bonnes politiques sont conduites par les organisations et par les Etats européens, pour la santé, l'agriculture, l'aide aux investissements privés, etc. En 2017, le revenu par habitant a diminué dans douze pays subsahariens qui abritent 33 % de la population de l'Afrique, soit 320 millions de personnes.
C'est tout dire. Il est temps de réaliser que la gestion des ressources, soit humaine, environnementale, minérale, spirituelle, naturelle, ou organisationnelle, doit être pris en considération et revu à long terme, au lieu de l’éphémère création des profits et richesses personnelles. Ils sont devant nous parce que, si les flux sont momentanément en recul, ils reprendront avec une force démultipliée dans les décennies à venir, le continent africain étant sujet à des crises climatiques, démographiques et économiques dont il n'a pas le contrôle.Les solutions d'aujourd'hui ne sont pas sans effet. Ils sont devant nous parce que les tensions sont devenues extrêmes au sein de plus en plus de pays de l'Union où le populisme s'est imposé.
Si certains pays parviennent à décoller (Burkina Faso, Ethiopie, Ghana, Rwanda, Tanzanie), d'autres sont en échec : leurs gouvernements semblent incapables de redressement, les populations de ces pays s'appauvrissent d'année en année.
L'Europe comptera 700 millions d'habitants en 2050, l'Afrique aura doublé, à 2,6 milliards. La connaissance a toujours été perçue comme étant une puissance. Avec la technologie aujourd’hui, cela devient progressivement difficile, alors ils utilisent la désinformation et la propagande ! You must have JavaScript enabled to use this form.
Ces derniers seraient alors acheminés vers des pays européens ou reconduits à leur pays d'origine. Les causes de l’immigration clandestine sont connues : le rêve européen, la misère familiale, les effets des réseaux sociaux, les conflits dans les pays de départ … Moins attirés par l’Europe qu’ils ne sont chassés de leur propre pays par un climat politique très souvent volatile, les jeunes africains désespérés par les conflits fuient des régimes autocratiques où les violences et persécutions sont nombreuses.
La liberté de tenter sa chance ailleurs, le voyage de l'espoir, ont fait sauter les frontières. Vu que les universités sont considérées comme des centres d’excellence pour la recherche de la connaissance, il est dommage que ces centres soient pris d’assaut par des maitres manipulateurs ; elles deviennent des bastions de protection de la foi ancienne et traditionnelle, enfin d’isoler et d’étouffer les nouveaux penseurs !